Hypothèse d'un apostat (Niqab et... viol musulman)
Après avoir évoqué les viols commis par certains musulmans et ironisé sur les codes vestimentaires que l'on souhaite nous imposer, j'ai décidé de boucler la boucle avec une intervention de monsieur Abul Kasem, apostat de l'islam, qui lors d'un colloque, révèle ce qui est selon lui, est à l'origine des maux cités supra. |
Vendredi 25 Avril 2008, Jamie Glazov (rédacteur en chef Frontpage Magazine) a réuni plusieurs personnalités pour un colloque intitulé «La haine Derrière le niqab»
Voici quelques extraits de l'intervention d'Abul Kasem, ex-musulman et auteur de centaines d’articles et de plusieurs livres sur l’Islam dont Women in Islam. Il a contribué aux ouvrages collectifs Leaving Islam – Apostates Speak Out et Beyond Jihad: Critical Views From Inside Islam.
Son explication sur les origines de la niqab et sur le viol des occidentales par les musulmans est très intéressante...
Kasem:
Il est intéressant de noter qu’avant la venue de l’Islam, les femmes d’Arabie jouissaient de beaucoup de liberté et de l’égalité. A cette époque et même jusqu’à l’arrivée de l’Islam, les femmes ordinaires d’Arabie ne portaient aucun voile (hijab) ni ne se couvraient le visage (niqab). Le voile des femmes était strictement réservé aux femmes de la haute noblesse, comme les familles royales, et aux gens particulièrement riches et célèbres. Alors pourquoi Mahomet a-t-il infligé cette forme d’oppression vestimentaire aux femmes musulmanes ? Pour le savoir, nous devons consulter les hadiths. La principale cause du voilage des épouses de Mahomet et des femmes musulmanes en général est enracinée dans le primitif système de latrines du désert d’Arabie. Après la mort de Khadijah, Mahomet a rapidement dilapidé la fortune que Khadijah lui avait laissée. Il devint si pauvre qu’il pouvait à peine subvenir à ses besoins. Quand il a émigré à Médine, lui et ses adeptes étaient dans la misère. A cause de cette terrible pauvreté, Mahomet a été obligé de loger ses épouses dans des logis où les toilettes/sanitaires étaient très primitifs voire inexistants. Il n’avait pas d’autre choix que de demander à ses femmes de se rendre sur un terrain à proximité et d’y répondre à l’appel de la nature. Dans un autre hadith du Sahih Bukhari (6.60.203) nous lisons qu’avoir des relations sexuelles au grand air, à ce même endroit où les défécations avaient lieux, était assez fréquent. En d’autres termes, ces endroits dans le désert où il y avait des buissons et des palmiers étaient des lieux où de nombreuses personnes qui n’avaient pas d’intimité chez elles se rendaient tant pour se soulager que pour avoir des relations sexuelles. C’était l’usage des bédouins arabes depuis la nuit des temps. En tous cas, Omar, le second Calife de l’Islam pressait Mahomet de changer tout cela. Conformément aux instructions, les femmes de Mahomet commencèrent à se rendre de nuit sur une plaine pour répondre à l’appel de la nature sans porter de voile ni de vêtements couvrants. Omar croisait souvent ces dames et se sentait gêné et mal à l’aise quand il les voyait répondre à l’appel de la nature sur cette plaine sans protection pour leur intimité. Il demanda à Mahomet de couvrir ses épouses avec des voiles chaque fois qu’elles sortiraient pour faire leurs affaires sur le terrain la nuit. Au début, Mahomet ignora les plaintes d’Omar. Mais comme Omar continuait à le harceler, Mahomet se tourna vers Allah pour Lui demander une suggestion (puisqu’il n’avait pas d’argent pour résoudre ce problème de toilettes). Allah s’empressa de faire descendre le verset sur le voile (33:59)
Aujourd’hui, nous constatons que partout dans le monde cette barbare coutume bédouine du septième siècle est revenue à la mode. Ne pouvant plus se contenter des femmes musulmanes, on fait aussi pression sur les femmes infidèles pour qu’elles se couvrent, parce que, selon les critères islamiques, ces femmes infidèles qui ne portent pas le niqab islamique sont des salopes, des putains et sont mûres pour le viol islamique par les hommes musulmans. Selon l’islam, les musulmans sont en guerre perpétuelle contre les non musulmans. Partout où il y a ne serait-ce qu’un bout d’Islam (même un seul musulman) il lui incombe de faire respecter l’Islam dans la mesure de ses moyens. Cela signifie que selon la loi islamique (Sharia), les femmes infidèles qui ne se plient pas au code vestimentaire islamique sont les captives des musulmans vivant dans le territoire infidèle. Dans la Hedaya (NDLR : la Guidance), le code de loi Hanafite, nous lisons que l’homme musulman qui vit en terre infidèle est autorisé à avoir sans restriction des relations sexuelles avec les femmes non musulmanes sans avoir besoin de les épouser. Ceci devrait expliquer pourquoi, dans le monde des infidèles, tant d’hommes musulmans sont appréhendés pour avoir violé les « allumeuses », « traînées » et « putains » des pays occidentaux. Elles méritaient de se faire purifier par un viol islamique, comme diraient beaucoup de musulmans.
La haine islamique pour les femmes occidentales qui ne couvrent pas leurs corps de « tentes » islamiques ne connaît pas de limite. En 2006, le Mufti d’Australie, le Cheikh Hilali considérait ces femmes occidentales comme de la viande « pour les chats », c’est-à-dire : ces femmes occidentales méritent d’être mangées (sexuellement) par les hommes musulmans qui les croisent. Nous pouvons ne pas aimer ce que le Mufti Hilali a dit mais il a parfaitement raison. L’Islam permet aux hommes musulmans de violer les femmes non musulmanes qui ne couvrent pas leur “viande”.
En voici la preuve : Dans le verset 33:59. Allah dit : « O Prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles : elles en seront plus vite reconnues et éviteront d'être offensées. Allah est Pardonneur et Miséricordieux ». Le plus éminent des auteurs de tafsir (exégèses), bin Kathir commente ce verset :
S’il vous plait, relisez encore une fois la dernière phrase : En Islam, les hommes musulmans ont le droit d’avoir sans restriction des rapports sexuels avec leurs servantes et/ou leurs esclaves sexuelles. Un musulman ne commet un viol que si et seulement si, il a des relations sexuelles avec une musulmane en dehors des liens du mariage. Imposer de force des relations sexuelles à une femme infidèle non voilée ne constitue absolument pas un viol, islamiquement parlant.
J’ai cité le Coran et le tafsir d’ibn Kathir pour dissiper les doutes que les non-musulmans pourraient avoir sur la haine impénitente que l’Islam a pour les femmes infidèles qui ne se soumettent pas aux spécifications islamiques du code vestimentaire féminin. |
Après cette explication détaillé, nous avons pu découvrir avec stupeur et ironie que :
ñ Déjà à l'époque, les héros de l'histoire avaient des dispositions évidentes à dilapider les allocations (Après la mort de Khadijah, Mahomet a rapidement dilapidé la fortune que Khadijah lui avait laissée.)
ñ Le Naturisme n'a pas été inventé par les scandinaves et les allemands mais par les disciples de Mahomet. LOL (les femmes de Mahomet commencèrent à se rendre de nuit sur une plaine pour répondre à l’appel de la nature sans porter de voile ni de vêtements couvrants.)
ñ L’instauration du port du voile n'est finalement due qu’à une histoire de latrines (La principale cause du voilage des épouses de Mahomet et des femmes musulmanes en général est enracinée dans le primitif système de latrines du désert d’Arabie).
ñ Pour eux les femmes non voilées sont des putes et les putes peuvent être abusées sexuellement sans que cela soit répréhensible. ces femmes infidèles qui ne portent pas le niqab islamique sont des salopes, des putains et sont mûres pour le viol islamique par les hommes musulmans....Imposer de force des relations sexuelles à une femme infidèle non voilée ne constitue absolument pas un viol, islamiquement parlant.)
En conséquence, si je puis me permettre de vous donner deux conseils ;
ñ Vérifier que vos toilettes soient toujours en état de marche. LOL
ñ Prenez soins de vos épouses et de vos filles car pour elles il sera de plus en plus risqué de sortir...
Christophe Gilles
Ref : C0024
Voir aussi :